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Le Reïki est-il un massage ?
Non. Les paumes des mains se posent et s’attardent sur des portes énergétiques du corps nommées chakras. Avec légèreté et curiosité. Les mouvements (interne et/ou externes) qui émaneront de cette rencontre viendront du corps.
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Qu’est-ce qui différencie le Reïki des autres soins énergétiques ?
En partage Reïki, je ne confie pas mon corps à quelqu’un qui va exercer une action volontaire sur lui (nettoyer, ouvrir…). Je collabore avec le praticien avec le but de me réapproprier mon ressenti corporel, m’ouvrant la voie à une collaboration avec mon corps. L’objectif noble d’un partage Reïki : retrouver mon pouvoir personnel. Quels que soient mon état de santé, de forme ou de fatigue, mes contrariétés momentanées. Le corps ADORE être rencontré par SON habitant, rendu curieux de ce qu’il a à raconter. Les cellules pétillent, les flux circulent mieux. La santé physique bénéficie beaucoup d’une rencontre neutre.
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Faut-il une tenue particulière pour partager du Reïki ?
Juste vous vêtir confortablement. L’essentiel est que vous vous sentiez bien dans vos habits choisis.
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Le Reïki est-il apparenté à une secte ?
Non. L’être qui vous reçoit n’a aucune vérité à vous asséner, et ne désire vous persuader de rien. Il n’est pas là pour faire de vous un adepte, ni pour vous extorquer quoi que ce soit.
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La pratique du Reïki est-elle réglementée?
Le Reïki n’étant pas reconnu par l’Etat (au même titre que la naturopathie, entre autre…), il n’existe pas de programme unique et officiel. Par exemple, certains vous proposeront des initiations collectives, d’autres non.
Néanmoins, une colonne vertébrale, un tronc commun s’imposent à tous :
– un code étique, que vous retrouvez sur reikialliance.com/french/ethicsFR.html
– une hiérarchie des degrés d’initiation semblable, où que vous vous initiiez sur la planète
– l’esprit transmis du Reïki
– les rituels d’initiation
– les symboles transmis en cours d’initiation
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Le Reïki s’apparente-t-il à une psychothérapie ?
Non. Le sujet central des échanges verbaux est le corps et l’expression des ressentis de l’instant. De là surviennent des prises de conscience. La compréhension sur mes mécanismes pour aborder la vie vient de messages de corps rencontré, et non d’une suite de « pourquoi, comment… ».
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Le Reïki s’apparente-t-il à de la méditation ?
Oui. La pratique du Reïki implique une pratique méditative de pleine conscience : observation neutre de ce qui se présente ici et maintenant, quoi qu’il se présente.
Le toucher Reïki est la prolongation d’un acte méditatif. Son seul objectif est une rencontre curieuse, qui rend hommage à la vie rencontrée.
Les mots neutres nés d’un ressenti mouvant sont des mots que nous pourrions qualifier de méditatifs.
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Y a-t-il des situations où le Reïki est contre-indiqué ?
Non. Foetus, femme enceinte, êtres malades, sous médication, en chimiothérapie, avec pacemaker, êtres épuisés (nerveusement, physiquement), personnes mourantes, patients qui nécessitent une opération, êtres en parfaite santé et heureux de vivre une rencontre privilégiée avec leur corps… Tous bénéficient d’un temps de Reïki.
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Le Reïki est-il un complément intéressant à notre médecine ?
Oui. La pratique du Reïki, de par sa neutralité, n’exclut rien. Le praticien Reïki n’est pas là pour diriger une personne vers telle ou telle manière de se soigner. Chacun reste libre, en fonction de ses convictions intimes et de ses besoins réels. TOUT EST BIEN.
Quand une opération s’impose, c’est parfait.Le Reïki partagé avant l’opération permettra à l’habitant du corps d’aborder l’événement plus paisiblement, confiant dans son corps dont il ressent le potentiel, au-delà du cap inconfortable à franchir. Au moment de l’opération, le corps ne subira pas, il coopérera. L’éveil post-opératoire sera plus doux, la cicatrisation plus rapide. Tant que le corps cellulaire le peut, bien sûr…