Ouvrir notre vision sur le Reïki

 

Notre société belge n’ouvre jusqu’à présent pas de place officielle à la pratique du Reïki. Permettant l’apparition de bien des pratiques différentes, souvent en plus d’une autre profession. Beaucoup de concepts se mélangent, la clarté s’en perd. Ce qui déforce une pratique noble et lumineuse.

Pratiquer le Reïki est une tâche en soi, car l’esprit de neutralité qui nous est demandé ne s’accommode pas de volontés humaines de guérison ou autre. Il est bon de rencontrer des humains qui s’engagent pleinement sur ce chemin, sans interférer avec d’autres intentions. Comment fait l’artisan pour devenir un maître en sa pratique ? En oeuvrant chaque jour dans la même voie. Il en va de même pour un praticien de Reïki.

Il serait bon que nos médecins, chirurgiens, et autres membres de notre médecine officielle puissent s’ouvrir à notre pratique. Aux Etats-Unis, c’est chose faite depuis longtemps, avec succès. Nous nous complétons : le praticien Reïki ne pose pas de diagnostic, n’a pas les connaissances pour aider le cap de guérisons physiques. Le médecin ne dispose pas du temps et de la formation nécessaires pour guider le patient vers le ressenti de son corps, ce qui lui permet de reprendre confiance et de collaborer plutôt que de subir craintivement. Main dans la main, donc, praticien Reïki et corps médical.

En Belgique, permettre cela apporterait de la clarté. Des praticiens confirmés pourraient plus aisément vivre de leur pratique, en faire leur métier unique, officiellement. Un enseignement plus uniforme pourrait se faire. Le regard de nos concitoyens serait plus ouvert, plus tranquille.

 

 

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